La question peut paraître saugrenue. En effet, on apprend généralement à partir de 4 ans à faire ses lacets ; parfois en s’aidant d’une comptine ; pour retenir comment faire les boucles et les cocardes. Cela permet à un enfant de travailler sa concentration et sa motricité fine.
A l’âge adulte, si le fait de lacer ses chaussures est un jeu…d’enfant, ils permettent une grande personnalisation et surtout, on ne le fait pas forcément de la même manière quand il s’agit de chaussures de ville, de running ou encore d’autres chaussures que l’on entend customiser à son goût. Explications.
Lacets de chaussure : comment les attacher de manière correcte ?
La manière de nouer ses lacets peut varier selon le type de chaussures. Ainsi, une personne qui court et qui possède donc des chaussures de running aura à cœur d’avoir le maximum de confort pour s’éviter des blessures.
La façon dont sont serrés les lacets ou encore comment ils sont mis dans les œillets peut être particulièrement importante. C’est pour cela, notamment que l’on enjoint les sportifs selon leur sensibilité à mettre le lacet jusqu’au dernier œillet et de bien serrer afin de maintenir le pied et la cheville fermement, afin que le corps ne soit pas déstabilisé pendant la course sur une route qui n’est pas forcément exempte de petits obstacles comme des cailloux.
On peut trouver des manières de lacer ses chaussures de telle manière que le talon soit bloqué ; ce qui peut être intéressant quand le pied a tendance à glisser dans les running ; ce que l’on appelle le « wide foot lacing ». Mais si l’on se sent à l’étroit dans ses chaussures de course, on peut aussi adopter le « high arch lacing ».
Il y ainsi plus de 5 manières de lacer ses tennis quand on court. Il est facile d’imaginer que cela ne leur est pas réservé et qu’il est possible de faire pareil avec toutes les autres paires de chaussures qui comportent des lacets.
Ce qu’il faut retenir sur le nouage de lacets
Lacer ses chaussures ne relève pas d’une science, puisque concrètement, on peut les enlever après l’achat et les remplacer ou les mettre différemment pour gagner en originalité.
Certaines chaussures peuvent ainsi être littéralement transformées en mettant de nouveaux lacets, d’autant que l’on trouve des modèles de toutes sortes (lacets fantaisie, de couleur ou encore des lacets peluche qui peuvent trancher avec des bottillons un peu classiques).
Il est donc possible d’oublier les traditionnels modèles blancs, bleu marine, noirs ou marrons et opter pour de la couleur et ce, quel que soit le style de chaussure, de botte, de bottines, de baskets, de sneakers et autres spartiates pour l’été.
L’avantage du lacet est qu’il permet de changer de style (quitte à coordonner avec sa tenue), sans être obligés de changer de chaussures ; ce qui a généralement un coût plus conséquent.
Certaines personnes n’hésitent pas à changer tous les jours de la semaine pour se démarquer des autres de manière simple et sans se ruiner. Le chic et le style ne sont donc pas une affaire d’argent, mais d’inventivité et d’originalité.
Si les enfants sont les premiers à aimer changer leur tenue, les adolescents, les hommes et les femmes ne sont pas en reste. Quand on sait qu’un adulte entre 35 et 44 ans possède 12 paires de chaussures et que cela passe à 15 pour une personne plus jeune, il est évident que les changements peuvent être quasiment sans limite.
Parfait quand on est parent d’un enfant qui ne rêve que de faire comme les copains ou encore de changer de chaussures tous les quinze jours : avec des lacets de marques ou encore de couleur (pourquoi pas différente à chaque pied), il va devenir la star (et pour pas cher).